Liette Hogue, ancienne directrice de trois magasins RONA du groupe L’Espérance Centre de Rénovation, est une des rares détaillantes à avoir connu dans ses magasins, l’installation des deux systèmes d’étiquettes électroniques : la radiofréquence puis, la communication infrarouge.
En effet, Liette Hogue a installé sa première quincaillerie avec des étiquettes électroniques de gondole (EEG) utilisant un système de communication par radiofréquence. À un moment donné, ses employés et elle-même ont commencé à rencontrer des problèmes techniques tels que : le manque de communication entre les EEGs et le back-office, les difficultés à mettre à jour les prix rapidement, les zones mortes dans certaines parties du magasin et la courte durée de vie des batteries des EEGs.
Lorsqu’elle a découvert les étiquettes électroniques infrarouges de Pricer avec JRTech, elle a directement remarqué la différence entre les deux systèmes de communication et a décidé d’équiper ses magasins avec les EEGs de Pricer. Tous les problèmes qu’elle rencontrait auparavant dans les opérations de ses magasins ont maintenant disparu. En plus du déploiement des étiquettes électroniques à infrarouge Pricer, Liette Hogue a également adopté les services de JRTech Solutions tels que le Put-to-light pour un réapprovisionnement rapide et la Géolocalisation pour un meilleur service à la clientèle.
Nous nous sommes donc assis avec Liette Hogue pour qu’elle nous en dise plus sur son expérience avec le système de communication par radiofréquence et savoir pourquoi elle est passée au système infrarouge offert uniquement par Pricer avec JRTech Solutions.
L : Bonjour, je me présente, Liette Hogue. J’ai été membre de la direction du Groupe L’Espérance Centre de Rénovation, qui était propriétaire de trois magasins RONA il y a quelques années. Et j’étais à la direction de ces trois magasins.
Q : Parlez-nous de votre expérience avec votre ancien système d’automatisation de prix avant de rencontrer JRTech Solutions.
L : On a installé le premier système à l’ouverture du magasin de Blainville qui était un nouveau magasin. Donc nous avons testé ce premier système dans cet endroit là et nous l’avons gardé autour de cinq ans à mon avis, mon souvenir est vague.
Par la suite, on a commencé à vivre des situations qui nous plaisaient moins et on a commencé à entendre parler de JRTech.
C’est à ce moment-là qu’on a révisé les différences de technologie qu’il y avait entre ce qu’on avait et ce qui existait maintenant dans le marché. Nous étions sur le point d’ouvrir un nouveau magasin, donc on s’est dit que c’était le moment de comparer les technologies et de se poser la question si nous avions le bon produit à ce moment-là.
Q : Quel type de système d’étiquettes électroniques aviez-vous et quelles en ont été les conséquences ?
L : Le premier système qu’on avait de radiofréquence était unidirectionnel. Deux des situations principales de problématique qu’on avait avec ce système-là, c’est qu’on n’avait pas d’informations qui nous revenaient de l’étiquette. Si on envoyait de l’information à l’étiquette et qu’elle ne la recevait pas (parce qu’on avait des zones noires, c’est-à-dire des problèmes dans certaines partie du magasin où le signal ne communiquait pas toujours bien avec les étiquettes) alors nous n’étions pas informés, et cela nous causait problème. Les prix ne changeaient pas et on ne le savait pas.
L’autre problématique qu’on avait c’est que c’était excessivement long de faire les mises à jour. Quand on faisait une mise à jour, ça mettait à jour toutes les étiquettes même si elles n’avaient pas changé de prix. Cela nous obligeait à faire les mises à jour que la nuit, donc on ne pouvait pas faire de changement de prix dans la journée. Un des objectifs des étiquettes électroniques est de faire les changements de prix rapidement et de récupérer les sommes ou les investissements rapidement, ce qu’on ne pouvait pas faire avec ces étiquettes-là. On devait absolument faire les mises à jour la nuit, et cela arrivait même qu’au matin, ce n’était pas terminé.
Q : Quels étaient les problèmes liés au système de radiofréquence en termes de communication avec vos étiquettes ?
L : Il arrivait qu’au matin quand on arrivait au magasin, la mise à jour n’avait pas eu lieu dans la nuit pour pleins de raisons et de problèmes. Lorsque cela se produisait, ça nous prenait toute la journée pour que la mise à jour se fasse, donc on se retrouvait avec des prix qui n’étaient pas à jour pendant toute la journée.
Si on était dans une journée de changement de promotion par exemple, ou de changement de prix circulaires, cela faisait qu’on n’était pas à jour avec la circulaire, ce qui causait des problèmes avec la clientèle. On gérait des magasins qui avaient 20 000 à 22 000 étiquettes d’installées, donc c’était un problème majeur. Cela nous obligeait à faire des remises aux clients pendant la journée parce que les prix n’étaient pas bons ou à installer des pancartes et affiches qui disaient : “Problématique avec les étiquettes, désolé les prix peuvent être différents à la caisse !”, à cause de la mise à jour qui était beaucoup trop longue.
Q : Pourquoi avez-vous décidé de changer votre système de radiofréquence pour les étiquettes électroniques PRICER à communication infrarouge de JRTech Solutions ?
L : Quand on a été approché par JRTech pour installer les étiquettes de PRICER à infrarouge, moi j’étais fermée. Je ne pouvais pas croire qu’il y avait une aussi grande différence entre les étiquettes infrarouge et les étiquettes radio que nous avions. C’est à force de persévérance qu’ils ont fini par nous convaincre de les écouter, et c’est là qu’on a compris que si nous avions des étiquettes PRICER à infrarouge, il y aurait une bidirectionnalité entre les étiquettes et notre système qui nous permettrait de savoir s’il y a des problèmes avec nos prix, avec nos affichages, etc. Si nos étiquettes sont en train de mourir, si elles n’ont pas reçu le prix… Toutes ces informations-là, on ne les avait pas avec les étiquettes radio.
Q : Qu’est-ce qui vous a décidé à changer votre système d’étiquettes électroniques à radiofréquence pour celui de Pricer ?
L : Au moment où on a été approché par JRTech pour les étiquettes PRICER, on avait plus de 3 000 étiquettes qui étaient mortes. Les batteries étaient à la fin de leur vie, donc on devait commencer à investir dans des batteries, et on avait des raisons de croire qu’il y allait en avoir plusieurs autres, sachant qu’on avait 21 000 étiquettes en magasin à ce moment-là.
Q : Quels ont été les avantages d’adopter le système d’étiquettes électroniques à infrarouge de JRTech Solutions pour vos magasins ?
L : Lors de l’ouverture de notre nouveau magasin de Blainville, on a décidé d’y aller avec les étiquettes électroniques PRICER de JRTech Solutions. Et c’est là qu’on a vu les gros avantages des étiquettes à infrarouge. Les changements de prix, on pouvait les faire dans la journée sans problème et rapidement.
La mise à jour se faisait seulement sur les étiquettes qui étaient concernées et non sur l’ensemble des étiquettes. S’il y avait une problématique avec une étiquette qui ne recevait pas l’information, on le savait. Mais de toute façon, il n’y en avait pas. On avait des antennes un peu partout dans le magasin et des zones mortes il n’y en avait pas dans ce magasin-là, contrairement à l’ancienne technologie où on avait plusieurs zones mortes dans notre autre magasin.
D’ailleurs notre autre magasin, on l’a changé quelques mois après avoir installé les nouvelles étiquettes dans le nouveau magasin. On a enlevé toutes les anciennes étiquettes, puis on a mis les nouvelles et nous n’avions plus de zones mortes à ce moment-là. Ces étiquettes-là aussi, au nouveau magasin, nous ont permis d’avoir un beau tableau d’affichage à l’entrée où les clients pouvaient rechercher des produits et le tableau leur disait à quel endroit se trouvait le produit dans le magasin. Même nos employés qui cherchaient des produits parfois allaient sur le tableau d’affichage, entraient la description du produit, puis se disaient : “Ah bah oui ! Il est dans telle rangée c’est vrai, on l’avait déplacé ! ».
Quand on plaçait notre marchandise on pouvait utiliser notre scanneur mobile pour faire clignoter les étiquettes pour savoir quels produits on avait en main. C’est excessivement pratique sur des produits qui se ressemblent, comme des petites vis, ou des boîtes de vis qui ont toutes l’air pareilles mais qui, au fond, ont une petite particularité.
Q : Dites-nous en plus sur les nouvelles opportunités que la communication infrarouge vous a apportées dans la gestion de vos opérations.
L : Après l’installation des étiquettes électroniques avec JRTech Solutions, on a commencé à aller plus loin et à aller chercher d’autres avantages de ces étiquettes-là, dont le réapprovisionnement.
Quand on plaçait notre marchandise, on pouvait avec notre scanneur mobile, scanner le produit et l’étiquette se mettait à clignoter. Donc, on était sûr de mettre le produit au bon endroit. Ça a l’air simple, mais quand on place par exemple des vis, tous les petits emballages ont l’air pareils donc quand l’étiquette clignote, on est sûr qu’on place le produit au bon endroit.
Un autre des avantages qu’il y avait avec les étiquettes électroniques PRICER, c’est le Géopositionnement. C’est quelque chose qu’on a mis en place assez rapidement après l’ouverture du magasin, qui permettait à nos clients avec un bel écran à l’entrée, d’écrire la description du produit qu’ils cherchaient et ça leur donnait l’information où se trouvait le produit dans le magasin. Nos employés l’utilisaient même parfois quand ils cherchaient un produit. Ils allaient l’écrire sur l’écran puis il se disaient : “Oh, c’est vrai, on l’a déplacé, il est à cet endroit là du magasin”. C’est très très pratique dans le quotidien.
Q : Avez-vous remarqué des différences entre la radiofréquence et la communication infrarouge ?
L : Après avoir vécu avec les deux systèmes, la radiofréquence et l’infrarouge, je sais pertinemment qu’il y a une grosse différence entre les deux. La bidirectionnalité au quotidien nous permet de savoir tout problème qu’il y a avec nos étiquettes. La rapidité des mises à jour était le jour et la nuit.
Q : Si vous aviez connu le système infrarouge de PRICER dès le départ, auriez-vous tout de même choisi un système d’étiquettes électroniques à radiofréquence ?
L : Avec le recul aujourd’hui, si j’avais connu les deux technologies au départ, est-ce que nous aurions pris les mêmes décisions ? Je n’étais pas seule dans le processus de décision. Mais moi personnellement aujourd’hui, ayant travaillé avec les deux technologies, connaissant les avantages des étiquettes électroniques de JRTech Solutions, c’est sûr que ma décision serait d’aller avec l’infrarouge aujourd’hui. Beaucoup plus efficace, beaucoup plus rentable quand on fait des changements de prix. Notre objectif c’est de pouvoir aller rechercher nos augmentations de prix le plus rapidement possible. Et avec ces étiquettes-là, tout est plus facile !
Q : Décrivez le niveau de service à la clientèle et de soutien de JRTech Solutions.
L : Le service qu’on a eu avec JRTech Solutions a été à la hauteur de ce qu’on nous avait promis. Aucune des promesses qu’on nous a faites n’a pas été livrées. Autant dans la durabilité des batteries, du service, du service à Montréal, du service en français, de la rapidité… On a toujours eu ce qu’on nous avait promis !